
Il doit son surnom à un séjour à Tahiti, où son frère a vécu, et brosse, à-travers le destin de la belle Rarahu, un tableau romantique de la société tahitienne de son époque (1872).
Nostalgie d’un monde perdu, déclin et prochaine disparition d’une civilisation originale sous la pression d’une colonisation destructrice et stupide, tristesse qui participe du charme étrange de l’Océanie. Un roman du désenchantement .