
Il est éditorialiste dans un organe de presse de droite, et ardent défenseur des thèses néo-libérales. Ils sont une équipe de copains, qui constituaient l’équipe de hand-ball du lycée, avec leurs vies plus ou moins difficiles, leurs combats contre l’injustice et leur refus de la soumission. Ils vont l’enlever et le forcer à travailler en tant qu’ouvrier, à percer des trous dans des plaques métalliques, soumis aux critères de travail qu’il préconise.
Tout l’humour et les valeurs de Gérard Mordillat au service d’un roman drôle et tendre, et dont la chute est jubilatoire.