
Le deuxième volet du roman autobiographique, se situe après mai 1968.(voir : Qu’as tu fais de tes frères ? ) L’auteur pose plus profondément encore les questions de l’identité, de l’injustice sociale et naturelle.
Claude connaît une richesse de relations extraordinaire et le livre mériterait ce titre déjà utilisé (et usurpé selon moi) de « ce qu’aimer veut dire ». S’ il connaît des épreuves , il sait aussi goûter le bonheur de vivre . S’il est au centre du roman, c’est davantage par le regard qu’il pose sur les autres que par un narcissisme appuyé.
Un portrait fabuleux de Fabrice (Luchini, bien sûr ; le nom n’est pas donné, mais difficile de ne pas le reconnaître.