
Trad : L. Derajinski
J’avais beaucoup aimé ses précédents romans. On retrouve ici la recette de ce spécialiste du « nature writing » : quelques êtres en huis clos dans l’immensité sauvage, un meurtre et la lourde présence de la victime, les couleurs, les odeurs, l’euphorie du milieu naturel…. Mais cette fois-ci, la mayonnaise ne prend pas. Confrontation de 3 générations, de l’humanité et de la bestialité, de la nature et de la religion, mais un texte qui traîne en longueur, une confrontation sordide entre un enfant et un cadavre en décomposition, un livre un peu ennuyeux sans être tout à fait dérangeant.