C’EST MOI QUI ETEINS LES LUMIERES de Zoya Pirzad


Editeur :
Chronique rédigée par

Trad : C Balaÿ

La narratrice est une femme au foyer dans le quartier arménien de Abadan en Iran.

Par ses yeux on observe le cercle de famille qui l’entoure et l’arrivée de nouveaux voisins qui perturbent momentanément son univers.
Certes un portrait de femme attachant, mais j’ai eu beaucoup de mal à m’intéresser à cette vie
quotidienne par rapport à laquelle elle a si peu de recul. Tout est dans les sensations et la minutie des descriptions de faits et gestes souvent ordinaires m’a parfois ennuyée…

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