
Trad:M.Biggins
Je suis très partagée : intéressée par le fond dévoilant le machiavélisme de certains manipulateurs, la surprenante possibilité d’entraîner des masses vers l’impensable, le rapport avec ce que nous vivons actuellement . J’ai aimé certains personnages, les descriptions d’un paradis végétal imaginaire, l’amour qui est toujours sous-jacent. Par contre il y a trop de sang, de dagues empoisonnées, de têtes coupées, de mépris pour la vie humaine. Et une vraie difficultée avec les noms masculins, surtout quand ils sont évoqués par plusieurs vocables pour le même personnage (Hassan – Seïduna – Ibn Sabbâh) . Un livre à garder dans sa bibliothèque pour s’y référer parfois.