
Poète, l’auteure livre son premier texte en prose, consacré au vocabulaire imagé qu’utilisait son milieu familial –en particulier sa mère – d’origine à la fois ouvrière et cultivée.
Elle livre ainsi ses souvenirs d’une langue originale, faite d’expressions souvent oubliées, qu’elle commente au fil des pages.
Sans doute ai-je entendu dans mon enfance un grand nombre de ces formules, bien que n’étant pas issu d’une famille ouvrière, car j’ai trouvé que l’ensemble manque d’originalité.