L’HOMME QUI AIMAIT LES CHIENS de Leonardo Padura
Un grand écrivain cubain pour une histoire qui, si elle reflète aussi la société cubaine, va bien au-delà : c’est toute la quête de la plus grande utopie du XX ème siècle, de sa perversion et de sa perte, sa dissolution par la « fatigue historique », et la dissolution de l’individu dans l’horreur totalitaire du stalinisme. [Lire la suite…]